Je suis Maïlys Facchi, ravie de vous avoir ici sur mon site !
L’atelier Calicabo naît en 2021 entre mes mains, sous le soleil de Provence !
C’est un atelier de céramique utilitaire : art de la table et plaisir des fleurs.
Calicabo kezako ?
Calicabo c’est l’histoire de poires et de vin rouge, heureux mélange concocté avec amour par la grande tante d’Ardèche. L’histoire, je vous laisse l’imaginer…
Histoire de l’art-isanat
Mon parcours est atypique et virevolte au grès de l’amour de l’art et de l’envie de participer à la dépeinte de ma vision du contemporain.
Après des études en histoire de l’art et archéologie, puis en conservation du patrimoine, j’ai travaillé dans des musées et ai pu m’emplir de merveilles créées par des artisans à travers le monde. J’ai eu la chance des les voir de très près et je vibre encore à la mémoire de sublimes plats à offrandes Incas ou de peintures à l’huile représentant des banquets.
Ainsi, l’Art et son histoire marquent ma création et me ramènent chaque jour à me questionner sur l’image du monde que l’on laissera aux générations futures.
Philosophie de comptoir
Les domaines de l’associatif et de l’insertion que j’ai connus en parallèle, m’ont ouvert les yeux sur une chose : la société manque souvent de beau aussi subjectif soit-il. Elle manque du plaisir de se délecter de choses simples, réelles et à portée de main.
J’aimerai permettre de posséder une tasse, un bol, une assiette choisis avec le cœur et qui resteront dans la cuisine pour un bon moment.
Mon but est de créer des pièces utiles sans fioritures, reflet de ma vision de la vie, prenant sa source dans la joie de l’imperfection. Comme le prônent les japonais dans leur pratique de la céramique, il m’est cher de faire de mon mieux et d’accepter de laisser à la terre et au feu, le dernier regard sur l’aspect final de chaque pièce. Cette dimension me permet de me renouveler et de devoir chercher sans cesse de nouveaux résultats, de nouvelles découvertes, toujours dans l’humilité. D’accepter les échecs. Cela au risque de voir quelques pièces servir d’écuelle à hérissons !
Mes céramiques se veulent être le reflet du lâcher prise et de l’humilité face à ce que l’on ne Philosophie de comptoir.
Les domaines de l’associatif et de l’insertion que j’ai connus en parallèle, m’ont ouvert les yeux sur une chose : la société manque souvent de beau aussi subjectif soit-il. Elle manque du plaisir de se délecter de choses simples, réelles et à portée de main.
J’aimerai permettre de posséder une tasse, un bol, une assiette choisis avec le cœur et qui resteront dans la cuisine pour un bon moment.
Mon but est de créer des pièces utiles sans fioritures, reflet de ma vision de la vie, prenant sa source dans la joie de l’imperfection.
Comme le prônent les japonais dans leur pratique de la céramique, il m’est cher de faire de mon mieux et d’accepter de laisser à la terre et au feu, le dernier regard sur l’aspect final de chaque pièce. Cette dimension me permet de me renouveler et de devoir chercher sans cesse de nouveaux résultats, de nouvelles découvertes, toujours dans l’humilité. D’accepter les échecs. Cela au risque de voir quelques pièces servir d’écuelle à hérissons !
Mes céramiques se veulent être le reflet du lâcher prise et de l’humilité face à ce que l’on ne peut contrôler autant dans cette pratique que dans la vie.
Nous sommes des animaux
Les valeurs de l’atelier s’ancrent dans l’air du temps, d’un désir de reconnexion avec la terre et la simplicité.
L’artisanat pousse à revoir son rapport à la consommation. D’abord, devant la conscience du temps passé a chaque pièce, ensuite de celle de l’humain derrière l’objet .
On consommera moins, les tarifs n’étant pas les mêmes que dans certaines enseignes nordiques, cependant la consommation est raisonnée, il n’y aura pas le même impact sur l’environnement.
Consommer moins, mais mieux.